Médias

#1 Positivement vôtre – La newsletter

Cliquez ici

et inscrivez-vous à la newsletter pour ne pas louper les prochains numéros !

Vos bonnes ondes du moi(s)

(Septembre 2025)

 

C’est la rentrée ! 🎒💚

On espère que vous avez passé un bel été ☀️ et que vous revenez en forme et motivés plus que jamais pour le programme qu’on vous a concocté 💪

 

La sélection du mois

Cliquez sur les parties qui vous intéressent pour y accéder rapidement : 

Ma vie avec… les outils digitaux

En direct des professionnels… psychose et immunité

Vu d’ailleurs… le continent africain : croyances culturelles et influences sur la prise en charge

Le coup de coeur de la rédaction… le livre du mois

Nos partenaires vous parlent… événements, initiatives et autres projets

Du nouveau chez PositiveMinders

Ma vie avec… Les outils digitaux

Ils font maintenant partie de notre vie quotidienne. Facilement accessibles, les offres sont multiples et il est possible de s’y perdre ! La rédaction vous propose des exemples d’applications et vous donne son avis :

 

Mieux comprendre ma santé mentale pour un meilleur soutien : 

Jardin Mental

 

Jardin Mental participe à l’amélioration des suivis psychiatriques ou psychologiques, et donc aux soins au sens large.

Il aide à mieux se connaître, à comprendre ce qui influe sur sa santé mentale, et ainsi à mieux gérer son trouble.

Jardin Mental facilite le dialogue avec tous les professionnels de santé impliqués dans le parcours de soins. Ils peuvent mieux se représenter la situation et mieux adapter les soins.

Cette application s’adresse à tout le monde, aux personnes suivies par un professionnel de santé comme aux personnes qui s’interrogent sur leur état de santé mentale et qui souhaitent apprendre à mieux se connaître en s’observant quotidiennement.

 

 

 

Cliquez ici pour télécharger l’application

 

 

 

L’avis de la rédaction : 

Les +

  • Service gratuit et anonyme, sans compte, par l’ARS France
  • Suivre l’évolution des symptômes
  • Et faire en sorte d’avoir le traitement le plus adapté
  • Pour toute personne vivant avec un trouble

Les –

  • L’application n’offre ni solutions ni exercices
  • Les indicateurs peuvent être difficiles à comprendre sans l’appui d’un professionnel

 

 

 

Prévenir la dépression par la nutrition : 

Food4Mood

 

De nombreuses études scientifiques ont montré qu’améliorer son alimentation est un bon moyen de soutenir sa santé mentale, que l’on souffre de dépression ou que l’on souhaite simplement en prévenir la survenue.

Codéveloppée par des professionnels de la santé, des diététiciens et des nutritionnistes, l’application Food4Mood propose des recommandations personnalisées pour améliorer son alimentation et comprendre l’impact de ses repas sur sa santé mentale. Des solutions nutritionnelles existent pour soutenir la relation intestin-cerveau et réduire les anomalies biologiques liées à la santé mentale comme l’inflammation et le stress oxydatif.

Le régime méditerranéen traditionnel contient très peu d’aliments ultratransformés et met l’accent sur la variété d’aliments sains. Ces dernières années, le régime méditerranéen traditionnel a suscité une grande attention dans la recherche en raison de ses nombreux bienfaits pour la santé physique et mentale.

Food4Mood propose de consommer local et de saison, avec des aliments frais qui vous apporteront tous les nutriments dont votre cerveau a besoin. Food4Mood rappelle ces principes simples : levez le pied sur la junk food, savourez votre nourriture et partagez la cuisine et les repas avec votre famille et vos amis !

 

 

Cliquez ici pour télécharger l’application

 

L’avis de la rédaction : 

Les +

  • Créée par la Fondation FondaMental et DietSensor, l’application offre des menus personnalisés pour améliorer son alimentation et en comprendre l’impact sur la santé mentale
  • Des questionnaires aident à définir des objectifs
  • Un moyen ludique pour soutenir la relation entre son intestin et son cerveau

Les –

  • L’application est payante après un essai de 7 jours
  • Non recommandée pour les personnes vivant avec un trouble du comportement alimentaire

 

 

Suivi des troubles de l’humeur : 

Emobot

 

Le premier thermomètre pour les troubles dépressifs.

Grâce à nos signaux émotionnels, il est possible de suivre en continu l’humeur, principale composante des troubles de l’humeur.

Les algorithmes créent ainsi une carte de chaleur émotionnelle qui résume le « tonus émotionnel » d’une personne tout au long de la journée en cumulant les émotions détectées.

Pour les médecins, l’utilisation de cet outil permet de prendre en charge un plus grand nombre de patients, et ce de manière plus efficace, et d’améliorer l’ensemble des soins prodigués aux patients.

 

 

 

 

 

 

Cliquez ici pour demander un essai

 

 

L’avis de la rédaction : 

Les +

  • EMOBOT analyse l’humeur via les expressions faciales et la voix
  • Simple prise de photo ou de vidéo et l’appli traduit en humeur et émotions
  • Destinée aux personnes vivant avec un trouble de l’humeur

Les –

  • L’application n’est disponible que sur inscription et pourrait devenir payante

 

 

S’informer sur les troubles psy : 

Psyquiz

 

 

Info ou intox : sauras-tu distinguer le vrai du faux sur les troubles psy ?

Cette application a été créée par le comité fribourgeois des Journées de la Schizophrénie. Composé de personnes vivant avec un trouble psy, de proches et de professionnels, ce comité œuvre à la déstigmatisation des troubles psy et au renforcement de l’accès aux prestations locales et à l’information.

 

 

 

 

Cliquez ici pour télécharger l’application

 

 

L’avis de la rédaction : 

Les +

  • Psyquiz est une appli gratuite et ludique pour actualiser ses connaissances sur les troubles psy
  • À travers des quiz généraux ou spécifiques, elle permet de s’informer simplement sur les troubles psy
  • Elle s’adresse à tous, professionnels, proches, personnes concernées ou grand public

Les –

  • L’application évolue chaque année, mais certains troubles ne sont pas encore inclus

 

 

Ces outils numériques ne sont qu’un aperçu pour trouver des réponses ou améliorer le quotidien, que l’on soit concerné par un trouble, professionnel ou simplement intéressé par le sujet.

Avant de télécharger une application posez-vous ces questions :

  • Qui propose l’outil ?
  • Qui le finance ?
  • Les informations sont-elles fiables ?
  • L’outil est-il pertinent ? Sécurisé ? Certifié ?

 

 

Et quelles que soient les réponses à ces questions, ces outils ne remplacent pas l’accompagnement que peuvent offrir les professionnels.

 

Vous avez des questions et ne savez pas vers qui vous tourner ? Voici quelques ressources :

 

Découvrez notre carte réseau (France – région parisienne)

Découvrez notre carte réseau (France – secteur Thonon-Chablais)

Découvrez notre carte réseau (Suisse – canton de Vaud)

 

Si vous souhaitez parler de votre situation personnelle ou si ces ressources ne suffisent pas, écrivez-nous à contact@positiveminders.com

En direct des professionnels… psychose et immunité

 

Les psychoses auto-immunes illustrent combien les interactions entre le système immunitaire et le cerveau redéfinissent notre compréhension de certains troubles psychiatriques. La thèse centrale de ce champ de recherche repose sur la découverte d’auto-anticorps, c’est-à-dire des protéines produites par le système immunitaire qui s’attaquent à des composants de nos propres cellules, ici, des récepteurs à la surface des neurones. Cette découverte a transformé l’abord des neuropsychiatres, passant de la supposition d’un déséquilibre chimique à la mise en cause d’une pathologie immunitaire spécifique.

 

En 2008, Josep Dalmau a identifié des anticorps anti-récepteur NMDA chez des patients présentant une encéphalite auto-immune : une pathologie devenue modèle pour comprendre ces psychoses d’origine immunitaire (Dalmau et al, 2008). Les auto-anticorps viennent perturber la plasticité synaptique, la capacité du cerveau à modifier la force de ses connexions, essentielle à la mémoire, l’apprentissage et la gestion des émotions. En se fixant sur des récepteurs neuronaux (comme le récepteur au glutamate NMDA ou la molécule d’adhésion NCAM1), ils déstabilisent l’architecture synaptique, provoquant la descente de ces récepteurs hors de la synapse. Les synapses ne peuvent plus alors transmettre correctement les influx électriques, engendrant hallucinations, troubles de la mémoire, parfois catatonie et crise convulsive (Shiwaki et al, 2022).

 

Certains événements, comme une infection par des virus neurotropes (VZV, H1N1…), la présence de tumeurs produisant des antigènes neuronaux (tératomes) ou des facteurs génétiques (HLA-A03, microdélétion du chromosome 6) favorisent ce dérèglement immunitaire. On croit aujourd’hui que la psychose auto-immune résulte de la conjonction de ces facteurs et d’un “terrain” propice, expliquant pourquoi toutes les psychoses ne relèvent pas du même mécanisme. Par ailleurs, une hypersensibilité immunitaire ou une histoire familiale de maladies auto-immunes accroissent le risque de développer une psychose de ce type  (Le Guen et al, 2015).

Les psychoses auto-immunes débutent fréquemment par des symptômes psychiatriques dits “primaires” : hallucinations, délires, désorganisation du comportement et de la pensée. Ces signes s’accompagnent souvent de fluctuations rapides de l’état mental et évoluent vers des troubles neurologiques plus sévères – mouvements anormaux, crises épileptiques, troubles de la mémoire, catatonie. Le diagnostic impose la recherche d’anticorps anti-neuronaux dans le sang et le liquide céphalo-rachidien, ainsi que des examens d’imagerie et neuropsychologiques. Dans certaines formes, la découverte d’un tératome ou d’une autre tumeur facilite l’identification du syndrome auto-immun (Pollak et al, 2019).

La grande avancée de la décennie passée a été de montrer que 15% à 20% des malades souffrant de schizophrénie étaient porteurs d’auto-anticorps dirigés contre des récepteurs synaptiques, notamment NMDA, GABA, ou NCAM1. Cette élucidation explique, pour une sous-population, l’inégalité de réponse aux traitements classiques et suggère que certaines schizophrénies sont en fait, au moins partiellement, des syndromes auto-immuns du système nerveux central. Il s’agit d’une évolution majeure du paradigme psychiatrique, ouvrant la voie à une classification des troubles psychotiques en fonction de leur mécanisme physiopathologique : toxique, inflammatoire ou auto-immun (Shiwaki et al, 2022).

 

Pour ces patients, la prise en charge comporte des immunothérapies ciblées – corticoïdes, échanges plasmatiques, immunoglobulines, voire rituximab. Plusieurs essais cliniques en France et ailleurs évaluent ces traitements, dont certains sont déjà utilisés avec succès pour les encéphalites auto-immunes et même certains cancers. Chez les sujets schizophrènes séropositifs pour les auto-anticorps, l’arrêt précoce du processus immunologique est parfois suivi d’une amélioration rapide et spectaculaire des symptômes psychiatriques et cognitifs. Néanmoins, la généralisation de cette approche reste prudente, faute de consensus sur les protocoles et en raison d’un manque de données épidémiologiques à grande échelle (Pollak et al, 2019Denis, 2025TIM-DePist clinical trial, 2023 ).

 

 

La recherche explore également le rôle de molécules novatrices, comme la kétamine, pour contrecarrer l’action délétère des auto-anticorps, ainsi que des biomarqueurs pour mieux identifier les patients concernés. Des programmes comme “TiM-DePisT” développent des outils de dépistage et des bases de données cliniques, ouvrant la voie à une médecine psychiatrique de précision (Denis, 2025TIM-DePist clinical trial, 2023).

L’objectif majeur des équipes de recherche est désormais d’améliorer le dépistage et la validation des profils auto-immuns, permettant d’orienter vers des traitements adaptés. Une attention est portée aux premiers épisodes psychotiques, à la fluctuation des symptômes et à la résistance aux antipsychotiques pour décider des analyses complémentaires. Avec des traitements immunomodulateurs largement utilisés en cancérologie et en neurologie, une intégration progressive en psychiatrie est à prévoir, pour offrir aux patients un parcours de soins plus efficace et plus personnalisé. » (Denis, 2025TIM-DePist clinical trial, 2023)

 

Découvrir la conférence détaillée et illustrée sur le sujet

Vu d’ailleurs… Le continent africain : croyances culturelles et influences sur la prise en charge

 

 

La culture influence la manière dont les troubles psy sont perçus, exprimés et pris en charge. Certaines manifestations pathologiques en Occident sont ainsi vues différemment ailleurs.

La mondialisation a favorisé la diffusion des modèles de soins psychiatriques occidentaux, mais a mis du temps à prendre en compte ces subtilités culturelles, rendant mois efficace le parcours de rétablissement proposé.

 

Ainsi, selon un rapport de l’OMS cité dans l’article « Santé mentale : défis, stigmatisation et accès aux soins des diasporas et en Afrique » du journal L’Afrique Aujourd’hui, on estime à 100 millions le nombre de personnes sur le continent africains vivant avec un trouble psy, incluant les troubles psy sévères tels que dépression, schizophrénie ou bipolarité. Pourtant, le même article révèle que 85% de ces personnes n’auraient pas accès aux traitements nécessaires.

 

Ces chiffres s’expliquent en partie par la forte stigmatisation des troubles psy et en partie à cause des différences culturelles.

 

Ainsi, sur le continent africain, on a longtemps pensé que la dépression n’existait pas. Or ce trouble se manifeste différemment, en raison de différences socio-culturelles. Concernant les troubles psy sévères, ils sont encore à l’heure actuelle pris pour des signes de possession ou de malédiction dans certaines cultures africaines, qui n’hésitent pas à demander de l’aide auprès de guides spirituels plutôt qu’à des professionnels de santé. De plus, les familles n’osent pas demander de l’aide de peur d’être marginalisés.

 

PositiveMinders décryptait ces tabous et croyances culturelles dans une table ronde, dont le replay est disponible en cliquant ici.

 

Pour aller plus loin, la rédaction conseille ces lectures : 

 

  • Boussat, S., & Boussat, M. (2002). À propos de Henri Collomb (1913-1979) : de la psychiatrie coloniale à une psychiatrie sans frontières. L’Autre, 3(3), 409-424. https://doi.org/10.3917/lautr.009.0409
  • Collomb, H. (1965). Les bouffées délirantes en psychiatrie africaine. Psychopathologie africaine, 1(2), 167-239.
  • Collomb, H. (1967). Famille africaine. Psychopathologie africaine, 3(2), 145-190.
  • Collomb, H. (1972). Psychothérapies non verbales traditionnelles en Afrique. Actualités psychiatriques, 3, 27-34.
  • Swartz, L. (2002). Rethinking ethnopsychiatric practice in South Africa. L’Autre, 3(3), 425-432. https://doi.org/10.3917/lautr.009.0425

Le coup de coeur de la rédaction… Le livre du mois

 

« Au bord de ma vie »

Itinéraire d’une borderline de l’hôpital psy à la Laponie

Abigail Barrand

 

Abigail livre dans cet ouvrage  un témoignage puissant et sincère sur son combat contre la maladie mentale.

 

Ce récit, construit comme un journal de bord, entre souvenirs d’hôpital et road-trip en Laponie, offre un regard inédit, lucide, bouleversant, mais aussi porteur d’espoir.

 

 

Abigail a de nombreuses casquettes : créatrice de contenus, podcasteuse, conférencière, sophrologue, secouriste en santé mentale… Elle se définit également comme militante. Son propre parcours, nourri par sa quête de rétablissement, lui a permis de développer une compréhension et une grande expertise autour de la santé mentale et de ses complexités.

 

Diagnostiquée en 2020, son parcours témoigne de son besoin de compréhension, puis de transmission et de sensibilisation.  Confrontée au meilleur comme au moins bon de la psychiatrie, elle souhaite communiquer et soutenir les initiatives positives pour construire une psychiatrie de demain, plus optimiste et humaine.

 

Sa communauté sur les réseaux sociaux rassemble près de 70K de personnes intéressées pour s’ouvrir à ce sujet.

 

Son livre est une ode à la vie, un souffle d’espoir et un message qu’elle souhaite adresser au plus grand nombre.

 

 

Cliquez ici pour accéder au livre

Nos partenaires vous parlent… événements, initiatives et autres projets

 

France – Recherche

La Fondation APICIL lance un appel à projet sur le thème « Douleurs et santé psychique » dans le but de faire émerger des projets autour de toutes les expériences douloureuses pour lesquels les intrications psychologiques sont présentes. Celui-ci est ouvert jusqu’au 31 mars 2026.

 

Toute personne peut soumettre son projet, qu’elle soit membre d’une équipe de recherche, d’une équipe médicale ou paramédicale, d’un réseau, d’une association, d’une organisation de soin publique ou privée, à but non lucratif.

 

Pour être étudié, les projet doivent répondre aux critères suivants :

Le soulagement de la douleur est l’objectif principal.

Etre novateur, original ou peu répandu.

Poursuivre un but non lucratif, dans le cadre de l’intérêt général.

Etre un projet d’équipe.

Se dérouler sur le territoire Français.

 

Pour soumettre votre projet, cliquez ici

 

 

France – Événement

 

La Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) d’Alsace propose, cet automne, un temps fort à travers une exposition itinérante. Les visiteurs auront l’occasion de découvrir la richesse d’un témoignage artistique unique, porté par la plume d’un auteur local, Michaël Bohy, poète mulhousien. À travers la poésie, il partage ses joies, ses peines et son amour de la vie.

 

Diagnostique schizophrène depuis 20 ans, Michaël Bohy ouvre son univers pour inviter chacun à porter un regard différent sur la maladie et contribuer à la construction d’un monde plus bienveillant.

 

 

 

 

 

 

 

Où découvrir l’exposition ?

  • du 8 au 18 septembre à Mulhouse
    51a, rue d’Agen
  • du 22 septembre au 2 octobre à Colmar
    125, avenue d’Alsace
  • du 6 au 17 octobre à Strasbourg
    6a, rue du Verdon

 

 

Pour en apprendre plus, cliquez ici

 

 

Événement – Belgique

Perte d’un proche en souffrance psychique ?

Similes Wallonie organise 2 soirées de soutien pour parents endeuillés, en partenariat avec l’Espace PAD.

📅 24 septembre & 15 octobre 2025
🕕 18h à 20h
📍 La LUSS – Namur
👉 Inscription obligatoire : virginie.graci@similes.org – 04/344.45.45

Un espace d’écoute, de parole et de solidarité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Événement – Suisse

Dans le canton de Vaud, le Mois de la santé mentale revient du 10 septembre au 10 octobre avec un programme public riche et varié. Cette action de sensibilisation et d’information sur les ressources disponibles en matière de prévention et d’accompagnement est une initiative du Département de la santé et de l’action sociale, portée par Santépsy. L’édition 2025 met l’accent sur les liens sociaux comme facteur de protection.

Pour la quatrième année consécutive, de nombreux événements sont ouverts au public à l’occasion du Mois de la santé mentale. Citons notamment des stands, conférences, workshops, mais également un « lunch santé », des ateliers jeux au Musée suisse du jeu ainsi que des ateliers créatifs, un pique-nique pour les familles, un atelier de cuisine parent-enfant, un webinaire sur les troubles psychiatriques et un débat public sur le rôle des institutions culturelles dans la création de liens sociaux. Ces initiatives publiques proviennent aussi bien du domaine socio-sanitaire qu’éducatif, associatif et institutionnel et sont complétées par des offres internes pour leurs usagers ou collaborateurs. Le programme complet est disponible ici et via le site www.vd.ch/sante-mentale.

 

 

 

 

 

 

 

Une expo photo à découvrir au Graap !

« Liens! » c’est une série de portraits réalisés par le photographe Pascal Bernheim, après plusieurs semaines passées en immersion dans les ateliers du Graap-Fondation.

Il y a rencontré des personnes qui travaillent à leur rythme, dans un cadre adapté. Il a capté des instants de concentration, des gestes précis, mais aussi des regards, des sourires, des moments partagés.

Car ici, le travail va de pair avec le lien.
On avance avec les autres, on retrouve un rythme, un rôle, une place.
Et parfois même, une équipe.

📅 À découvrir du 10 septembre au 12 octobre 2025
🕰 Lundi – vendredi : 8h-20h / Dimanche : 10h-16h / Samedi : fermé
📍 Graap-Lausanne restaurant Au Grain de Sel (Rue de la Borde 23)
🗓️ Vernissage le 9 septembre à 17h en présence de Pascal Bernheim et de Sandra Feal, directrice générale du Graap-Fondation

Entrée libre, bienvenue à toutes et tous

 

 

 

 

 

 

 

 

SOLITUDE(S)

La clinique La Métairie est heureuse de présenter l’exposition «SOLITUDE(S)», fruit d’une interprétation d’un travail artistique par ses patient.e.s lors des groupes thérapeutiques de photo-médiation.

Ce projet, présenté dans le cadre du Mois de la santé mentale du canton de Vaud, est né d’un désir commun, celui de donner voix et image à une expérience universelle – la solitude – souvent tue, parfois stigmatisée, mais profondément humaine.

En partenariat avec l’association FOCALE, cette exposition s’inscrit dans une volonté d’ouvrir la clinique vers l’extérieur, de créer du lien entre art et soin, entre vécu intime et regard public.

Que cette exposition soit une invitation à regarder autrement, à écouter ce qui se dit entre les images et les silences.

Les images exposées sont issues de l’atelier annuel des membres de soutien de FOCALE, que nous remercions chaleureusement, ainsi que l’association FOCALE

 

Les visites de l’exposition se font sur inscription, selon les créneaux horaires et les places disponibles auprès de la réception de la clinique ou en utilisant l’outil de réservation en ligne ci-dessous.

L’accès à l’exposition se fait selon des heures fixes et uniquement en présence d’un.e membre de l’équipe soignante de la clinique.

Toute personne non inscrite se verra refuser l’accès à l’exposition.

Téléphone : +41 (0)22 363 20 20

E-mail : reception@lametairie.ch

 

 

 

Symptomania

Un festival avec les santés mentales

1er – 3 oct. 2025

à La Grange, Centre Arts et Sciences, Unil

 

Fragilités passagères ou maladies qui marquent un quotidien, les questions de santé mentale concernent la plupart d’entre nous au cours d’une vie. Pendant trois jours, Symptomania ouvre un espace de partage et d’écoute pour renverser les perspectives sur la psychiatrie, entre propositions artistiques, podcasts, réflexions scientifiques, projets étudiants et vous – personnes concernées, pairs et proches-aidantexs, publics. Bienvenue !

Consulter la grille horaire

 

Tout le programme > grange-unil.ch

 

 

Enquête – Suisse

 

L’association STOP SUICIDE lance une enquête !

Active depuis 25 ans en Suisse romande, STOP SUICIDE s’engage pour prévenir le suicide des jeunes de 15 à 29 ans. Aujourd’hui, l’association souhaite aussi mieux comprendre comment les adultes de 30 ans et plus perçoivent le suicide.

Vous avez 30 ans ou plus et vous vivez ou travaillez en Suisse romande ? Votre avis compte !

L’enquête est anonyme, dure 15 minutes maximum, et peut vraiment aider à améliorer les actions de prévention.

Pour accéder au questionnaire 👉 https://stopsuicide.limesurvey.net/764724
Pour plus d’informations 👉 recherche@stopsuicide.ch

Merci d’avance pour votre participation 🙏 et n’hésitez pas à partager le lien autour de vous !

Du nouveau chez PositiveMinders

 

Nos événements en septembre

Triangle 2.0 – en ligne

Jeudi 18 septembre, 18h

Allumez caméra et micro, puis venez partager votre expérience lors du Triangle 2.0

« Crise psychique :

quand est-ce une urgence? »

 

Inscription

 

Webinaire : en ligne

Jeudi 25 septembre, 18h

 

Le nouveau chapitre

de votre série de webinaires sur les troubles psy à tous les âges :

« Les troubles psy de 31 à 50 ans »

 

Inscription

 

Festival « faisons tomber les murs » : présentiel

Vendredi 19 septembre, 14h

Pavillons des fêtes – Levallois-Perret

 

Rejoignez-nous pour ce moment de sensibilisation, d’inclusion et de culture !

 

Musique, jeux, théâtre, danse… un programme riche et convivial vous attend.

 

Rencontrez PositiveMinders et jouez à Kambayama

notre jeu sur la collaboration entre partenaires !

 

Inscription

 

 

 

Téléchargez le programme complet automne 2025

 

 

 

Le saviez-vous ?

 

Chaque année, nous coordonnons de grandes campagnes médiatiques avec l’aide de notre prestataire The Desk.

 

Elles ne seraient pas possibles sans les témoignages des personnes vivant avec un trouble psy, des proches, des chercheurs et des professionnels. Ce fut par exemple le cas pour la bipolarité avec Lilie, bénévole chez PositiveMinders.

 

 

 

Lilie est bénévole depuis plus de 2 ans chez PositiveMinders. Les actions du Pôle Déstigmatiser ont donné à Lilie l’occasion de témoigner dans les médias et de partager son histoire et son vécu. Lorsqu’elle a accepté de franchir le pas du témoignage, Lilie a bénéficié d’un accompagnement et du média training proposé par l’association.

 

Ce média training permet aux témoins de se sentir plus à l’aise pour intervenir et pour partager de manière fluide et concise leurs messages empreints d’émotion. Et Lilie s’est prêtée au jeu avec brio !

Au-delà du média training et en fonction des profils demandés, PositiveMinders propose un vrai accompagnement, afin que l’interview se passe dans d’excellentes conditions. Selon les situations, nous accompagnons les témoins en fonction de leurs envies, de leurs limites, du sujet, et leur proposons les médias qui leur conviennent, tels que presse écrite, plateaux de télévision, réseaux sociaux, etc. S’il le faut, nous sommes aussi présents sur les tournages dans le but de faciliter les contacts, nous organisons les déplacements nécessaires des témoins et leur accueil sur place.

Si, vous aussi, vous souhaitez témoigner dans les médias, n’hésitez pas à nous écrire !

 

 

 

Ouverture des adhésions

 

 

Grâce à votre soutien, nous avons pu créer cette première newsletter, et les événements de la rentrée.

Vous êtes séduits ?

 

Rejoignez les PositiveMinders !

 

La cotisation annuelle est de 20€ et déductible des impôts.

Être membre, c’est

 

  • soutenir des actions concrètes de sensibilisation, information et déstigmatisation
  • défendre une cause qui vous tient à coeur
  • participer à la vie associative et être entendu
  • soutenir les 600 bénévoles engagés

Adhérer à PositiveMinders

Cet article vous a plu ? N’hésitez pas à vous inscrire pour recevoir les prochaines newsletters !